Aujourd’hui encore il a fait chaud. Autant le matin, l’atmosphère était respirable, mais alors l’après-midi, je me serai cru dans une fournaise. Je suis content que le journée se finisse, car je commençais à avoir un peu mal à la tête !
D’autant plus que j’ai continué à rechercher des solutions de scripts pour analyser du code PHP. J’ai fait un rapide bilan écrit (un peu plus complet et détaillé que celui d’hier, notamment avec des captures d’écrans) des solutions trouvées jusqu’à présent.
Sans grande surprise, je n’ai toujours pas trouvé les sources de Pixy.
Mais surtout, j’ai tenté de faire fonctionner SonarQube. Sur Windows évidemment. Alors après quelques cafouillages, des configurations bancales qui ont tout de même le mérite de ne pas tout faire planter, impossible de faire des tests pour PHP. Soit j’ai mal fait quelque chose dans les installations des différents plugins et applications nécessaires (voire j’en ai oublié un :/), soit ce n’était pas mon jour… Alors imaginez avec une chaleur pas possible.
Mon problème n’était pas le serveur central SonarQube, sorte de « dashboard ». Ce qui m’a d’abord posé problème, c’était le Sonar Runner qui permet de lancer des tests sans devoir passer par Maven ou Ant. Mais c’était trop peu pour me faire peur. Car après quelques sueurs froides chaudes, c’est l’installation de PHP qui a flanché. Et là, j’ai perdu tout espoir en Windows.
J’ai donc opté pour une machine virtuelle sous Ubuntu (j’ai d’ailleurs trouvé un tutoriel qui semble bien expliqué pour auditer du code PHP), qui j’espère sera prête d’ici demain matin. Et normalement, merveille des merveilles, je découvrirais le rapport d’audit de Sonar